Inscriptions révolutionnaires vers 1792
Cette succession de maximes gravées sur des parpaings de pierre a été remontée dans le désordre en couronnement du muret de clôture de la propriété qui fait face à l’église.
L’origine exacte de cette curiosité historique est difficile à déterminer, mais elle est parfaitement datée, par son contenu même, de la période révolutionnaire antérieure à l’exécution de Louis XVI. Y est gravé notamment : «Honni soit qui mal y pense.» «Le bon vin endort, l’amour réveille.» «Aime ton prochain, honore ton père.» «Bon mari, bon citoyen, bon voisin, bon ami.» «Soleil, père du jour tu luis pour tous. » «Adore Dieu, sois vertueux.» «La Nation, la Loi, le Roi.»